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Test : Grand Theft Auto V (PS3)

grand_theft_auto_v_cover_jaquetteS’il y a bien un jeu que personne n’attendait, c’est bien ce Grand Theft Auto V… Il semblerait qu’en fait tout le monde, ou presque, attendait la suite de cette licence comme le Messie. Pour certains même, il est considéré comme le potentiel dernier grand « game » sur cette génération de consoles. Même si tous les grands sites spécialisés vous ont déjà livré leur avis, nous vous livrons malgré tout notre critique du jeu. Nous allons donc découvrir si Rockstar Games a su aller encore plus loin avec cet épisode, ou si finalement on se retrouve juste dans une suite avec quelques améliorations quasi obligatoires.

Ma 6T va cracker

Pour ce nouvel épisode, les développeurs ont choisi de retourner à San Andreas et de le retourner en même temps. Selon leurs dires, la carte du jeu est plus grande que celles de Red Dead Redemption, GTA San Andreas et GTA IV réunies. On va les croire car cela serait trop compliqué à vérifier.
L’état californien fictif a fait ses preuves à l’époque, mais regorge encore de surprise. Information intéressante, la carte est intégralement débloquée dès le début ou presque. On pourra donc s’y balader aisément et compléter les missions ouvertes, tout en voyant des activités supplémentaires s’y débloquer au fur et à mesure.

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La grosse nouveauté de ce GTA est la possibilité de contrôler trois personnages bien distincts.
Michael un quadragénaire bedonnant, ancien voyou mis sur la liste des témoins protégés par le FIB. Marié et père de deux enfants, mais qui a du mal avec sa famille et passe donc son temps entre séances de psy et films d’action de série B.
Franklin, un mec un peu plus jeune voulant se sortir des mauvais coups de son quartier, sur fond de drogue et de meurtres. Et enfin Trevor, ancien compagnon d’infortune de Michael, persuadé que son ami a succombé à ses blessures lors d’une fuite après un casse, que l’on joue en guise de prologue. Quasiment dix ans se sont écoulés entre ce fait divers et l’aventure dans laquelle nous allons nous lancer.
Il sera également possible, à de trop rares moments, de se glisser dans la peau de Chop, le chien de Franklin. Un autre personnage pourra s’ajouter au game, celui que vous créerez pour le mode en ligne. Dès lors que la triplette sera entièrement disponible, vous pourrez alterner entre chacun à votre guise, en dehors des missions. Durant ces dernières, le switch sera parfois possible à volonté, à d’autres moments il sera automatique et enfin forcé, mais à réaliser soi-même. Cette astuce permet de varier les gameplays sans véritable transition et de bénéficier de divers points de vue lors d’une mission. Ce qui s’avère très intéressant pour contrer la répétitivité, tout en donnant parfois l’occasion de choisir sa façon de jouer.

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Le tour des crews

Moins porté sur la guerre des gangs, ce nouveau GTA vous permettra tout de même d’en croiser certains : latinos, motards ou bien encore les Lost, qui vous feront mariner pendant six ans pour rien… Mais surtout vous aurez à travailler pour, et à la fois contre, des organismes encore mieux structurés. Allant des politiciens véreux, aux flics ripoux, en passant par le FIB lui-même. La pression sera donc intense, puisque vous mettrez votre peau en danger pour, souvent, une inexistante récompense et vous paierez même les « accessoires » dont vous aurez besoin. Se rebeller contre ces structures ne sera pas chose aisée, mais Trevor n’hésitera pas et y ira carrément de bon cœur en conservant un véhicule ou en enlevant un proche de l’un de ces pontes. De quoi faire monter la sauce du scénario et trouver constamment de nouveaux rebondissements, amenant vers de nouvelles idées abracadabrantesques pour se relever ou contrer ses ennemis. Le tout ouvrant continuellement la voie à des vannes sur de nouveaux sujets, évitant la répétitivité par la même occasion.

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Ah bah, mon vélo !

Les non gamers, en entendant le nom GTA, vous répondront qu’il s’agit du jeu où l’on peut voler des voitures. Ils ont raison, mais heureusement il n’y a pas que cela à faire et, qui plus est, la bagnole n’est pas le seul moyen de transport mis à disposition. Évidemment la plupart sont bien connus des aficionados de la série, mais l’on pourra toujours trouver une nouveauté par rapport à ses précédentes expériences avec la licence. Au programme, motos, camions, tracteurs, hélicoptères, avions, bateaux, scooters des mers, voiturettes, quads, vélos… avec différents modèles pour chaque catégorie. Mais apparemment on peut également se faire chaparder son bien, puisque notre VTT, négligemment rangé certes, a tout simplement disparu durant une petite affaire que nous avons pourtant réglé en quelques secondes, à deux pas d’ici.
Pratiquer la bicyclette vous permettra d’ailleurs d’améliorer vos capacités physiques, en particulier l’endurance, au même titre que la marche et la course à pied. Vous pourrez également progresser physiquement en pratiquant couramment la baston. Tandis que l’augmentation de caractéristiques propres à certains véhicules, se fera en les pilotant. Il est également possible d’améliorer sa capacité au tir, en s’entrainant au stand de l’Ammu Nation, où des médailles peuvent être remportées selon les performances. Notre trio infernal bénéficie également d’une capacité spéciale par perso. Celles-ci sont loin d’être indispensables, mais il s’agit d’une piste que les créateurs pourraient continuer à explorer, pour en tirer quelque chose de plus consistant à l’avenir.

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No pleasure crews

Parcourir l’univers de GTA V ne sera pas une promenade de santé. On sent bien que l’époque San Andreas, où l’on pouvait rester aux abords de son quartier pour dépecer les passants, est révolue et tant mieux. Frapper quelqu’un ou voler un BMX, même dans un endroit reculé, fera quasiment à coup sûr rappliquer les autorités. Surtout qu’agresser n’importe qui ne rapportera pas grand-chose. Même les clients d’un club de strip-tease, dans lequel nous nous sommes retrouvés totalement par hasard, furent tous à sec, alors que l’on espérait bien se payer un show privé sur leur compte. La police est accrocheuse, plus qu’auparavant, bien que la devancer est monnaie courante. Malheureusement on se fait souvent attraper à cause de bugs idiots, comme un véhicule vous coinçant alors qu’habituellement vous les écrasez tous.

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Des mecs chargés

Le programme des missions principales est déjà copieux, entre les casses, les poursuites (en avion, voitures, motos… ), les rixes… Quelques-unes sont assez mythiques, notamment la course poursuite où Michael et Trevor se retrouvent en flics à motos et, d’ailleurs, on n’a pas pu s’empêcher de fredonner le générique de Chips durant cette aventure.
Mais, comme habituellement avec la franchise, des activités annexes viendront s’y inclure. Qu’il s’agisse de missions bien ficelées, mais en dehors de l’histoire majeure, mais aussi de challenges récurrents pour rendre service par exemple, comme remplacer JB le pote de Franklin, dans son boulot de dépanneur. Plus ou moins prenant par surprise, des vols ou attaques à main armée, sur lesquels vous pourrez intervenir lorsque vous passerez à proximité. Le sport ne sera pas en reste, avec le golf, le yoga, les courses de voitures, jets-ski, quads et le très addictif triathlon. On pourra jouer aux fléchettes, aller chez le psy, remplir des contrats en devenant chasseur de têtes… Certaines de ces activités manqueront d’une bonne jouabilité, le tennis en tête, et l’on n’y reviendra pas. D’autres donnent envie d’en voir plus, comme le triathlon qui vous portera vers une sorte d’Iron man, la course et non le super héros. Celui-ci vous fera tapoter la touche croix pendant une bonne vingtaine de minutes. Echauffement recommandé.

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GTA 5.0

Tout comme le monde réel, GTA est touché de plein fouet par cette révolution numérique. Personne ne quitte le nouveau smartphone hors de prix et inutile, amenant les amis à ne se voir que sur le réseau social LifeInvader, celui qui a fait couler MyRoom. Internet est lui aussi bel et bien là et permet de surfer sur les sites des lieux du coin, spéculer en bourse ou encore de checker son profil MyRoom. Le second écran est évidemment de la partie, l’application iFruit étant déjà téléchargeable et permettant notamment de s’occuper de Chop.
Moins gratuits, les futurs DLC dont on imagine déjà que l’on va se sentir floué en découvrant les véhicules et armes à acheter.

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Premier baiser

A certains moments, on peut téléphoner et/ou  inviter les contacts que chacun des trois personnages principaux possèdent. Une virée au bar, une partie de tennis ou bien encore un tour au club de strip-tease, rien de tel pour consolider ou raviver une amitié. Les sorties de bars seront quelque peu floues et piqueront les yeux à certains, probablement les mêmes souffrant des jeux et vidéos 3D. Le genre d’interaction nous plongeant un peu plus dans l’ambiance.
Des rencontres seront également possibles, que vous soyez seul ou à deux. Le strip club étant là pour ça avec ses spectacles publics, où vous pourrez envoyer des billets à la demoiselle jouant avec sa barre, mais également passer en show privé. Vous pourrez augmenter la jauge d’attirance des danseuses, qui, lorsqu’elles seront pleines, les jauges et non les danseuses, donneront envie à la strip-teaseuse en question de vous inviter chez elle. Mais cela servira aussi à inviter une seconde jeune femme à entrer dans la danse. Malheureusement pas plus et impossible également de repartir en compagnie des deux. Vraiment quelle déception… on a failli en casser le jeu !! Très intéressante tout de même, la possibilité de fricoter avec la même fille, avec chaque personnage. Si ça ce n’est pas de l’amitié, alors on n’y connait rien !

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Vinewood productions

L’ambiance et le scénario sont souvent des points forts cités à propos des GTA. Ce dernier ne déroge pas à la règle, même si le scénar reste un peu trop prévisible, les codes n’étant pas cassés en ce qui concerne ce domaine. L’atmosphère générale allégrement teintée d’humour permet tout de même de ne jamais se lasser.
L’apport fréquents de personnages secondaires aidant à cela, quelques-uns sont même cultes, bien que parfois déjà-vus. On se souviendra en particulier de Mary Ann, la joggeuse aux nerfs à vif, tout bonnement hilarante, de Lester, pirate informatique collectionneur de figurines sous blister, ou bien encore de Tracey, fille de Michael, parfaite reproduction de l’adolescente d’aujourd’hui avec sa cam live et son envie de devenir « connue » à tout prix. Sauf que celle-ci est majeure, l’éditeur ne souhaitait probablement pas voir débarquer quelques procès. On n’oubliera pas non plus les rencontres de passage, comme ces informaticiens bobos adeptes du air guitar et jouant aux bornes d’arcade au lieu de bosser. Toute ressemblance avec des personnes existantes étant purement fortuite. Ainsi que les strip-teaseuses, qui ne manqueront pas de vous envoyer un SMS avec photo, à l’issue d’une nuit passée avec elles. Mais aussi divers personnages nommés « inconnus et dérangés », vous contant leur histoire ou vous proposant d’autres missions, comme aller chercher un paquet ou jouer au capitaine de soirée.

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Bang music only

Depuis la PS2, GTA s’est également forgé une importante réputation grâce à sa bande-son, délivrée sur diverses radios in game. On retrouve ici du très lourd pour un peu tous les goûts : , rock, dance, pop, hip-hop, électro…
Quelques artistes pêle-mêle : Queen, Steve Miller, Johnny Cash, Def Leppard, Corona, Robyn, Wham, Dr Dre, NWA, ainsi que les français de Modjo et Stardust. De quoi passer de bons moments, avec certains titres taillés pour les road trips récurrents dans cet univers. Rien que « Lady » de Modjo rappellera de bons souvenirs à ceux les ayant connus il y a une dizaine d’années. Leur clip se déroulant lui-même sur la route, tout en évoquant les propres virées que chacun a pu se faire à l’époque en écoutant cette chanson ultra accrocheuse. On se surprend à continuer de rouler en attendant la fin du titre, pour enfin descendre de son véhicule et se lancer dans une nouvelle mission.
Il semble néanmoins impossible d’ajouter ses propres musiques. Cette option, disponible dans Burnout par exemple, serait pourtant la bienvenue dans un jeu fait pour que l’on y passe beaucoup de temps. La musique peut être écoutée dans quasiment tous les moyens de transport. On déplorera tout de même l’impossibilité d’en faire de même à pied ou à vélo, où pourtant le smartphone, voire le détournement d’un célèbre baladeur numérique, aurait pu s’en charger. Cela aurait idéalement collé à l’ambiance et aux diverses références faites à notre univers numérique actuel.

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Venice biatch

L’atmosphère estivale et côtière du domaine jouable, est retranscrite par des couleurs fleurant bon l’été et le sable chaud. Y compris dans les parties forestières et désertiques, où cette touche fait également son effet. On se sent porté par les couleurs vives, accentuées par les devantures de boutiques factices nous éclatant la rétine, dans le bon sens du terme. Aucune partie du décor ne dénature le reste, nous aspirant ainsi entièrement dans l’ambiance à la cool de San Andreas et Los Santos.

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A bug’s life

Malheureusement, notre esprit sort de temps à autres de cet univers, à cause des bugs récurrents et légion dans GTA V. Le clipping incessant vous étonnera sur un jeu censé être de la trempe des plus grands. Les bugs de collision encastrant un véhicule de manière très étrange dans un autre, un mur ou bien encore directement dans la route (nous avons vu une voiture dont la moitié inférieure se trouvait sous le goudron), risquent de vous faire bondir.
Des réactions de l’IA de vos complices et de celles des autres conducteurs laissant souvent grandement à désirer, alors qu’à d’autres moments les comportements sont crédibles.
La personnalisation (vestimentaire, capillaire, pilosité faciale et tatouages) de nos trois héros disparaissant parfois au cours des cinématiques, réapparaissant entièrement, en partie, voire pas du tout, suite à la cinématique ou bien lorsque la mission sera terminée. Quelque chose de plus que limite, il ne sert à rien de proposer une personnalisation si elle peut disparaitre à tout moment, et pas que lors des cinématiques d’ailleurs. S
urprenant également, le temps de chargement considérable lors de chaque partie lancée, rappelant tout simplement les volets PS2. A l’époque on pouvait le tolérer, l’espace étant vaste et le jeu non installé sur notre console. Mais là c’est incompréhensible. A plus forte raison pour les possesseurs de la version digitale et c’est notre cas. Cette dernière pesant 18 Gigas et ayant déjà du mal à être téléchargée. En effet, nous disposions de 33G et le téléchargement était toujours impossible, pour cause d’espace libre insuffisant. Nous imaginons qu’à partir de 36 ou 37G cela fonctionne. Finalement nous sommes allés jusqu’au 50G pour assurer le coup. Prévoyez donc de la place et prohibez les consoles 12G.

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Loin d’être exempt de tout reproche, particulièrement en raison de ces nombreux bugs, GTA V n’en reste pas moins un très bon jeu. Cela grâce à son terrain vaste comportant de nombreuses activités, véritablement intéressantes, ce qui est loin d’être le cas de tous les titres dits à « monde ouvert ». Mais aussi par sa narration agréable à suivre, avec un humour pas toujours au top et peut-être trop accessible, mais suffisamment bon pour ne pas exaspérer et surtout, qui donne envie d’aller plus loin.

Inod

Points forts :
– Certains personnages secondaires au top
– Devantures des faux magasins et panneaux publicitaires toujours bien trouvés
– Distances d’un point à un autre non abusées
– Bande-son
– Plusieurs persos jouables
– Alternance dans le gameplay des missions principales
– L’impression que les trois héros vivent leur vie même quand on ne joue pas avec
– Suffisamment de bons dialogues et piques pour qu’on s’y intéresse jusqu’au bout
– Monsieur Compote

Points faibles :
– Installation massive, même pour la version physique
– Trois protagonistes mais toujours pas de femme
– Clipping et divers bugs graphiques et de collision
– Sa légendaire rigidité dans le gameplay
– Certaines activités à la jouabilité douteuse
– Personnalisation des héros insuffisamment poussée
– Certaines références, se voulant humoristiques, de très mauvais goût
– Trop peu de boutiques et lieux de convivialité à visiter
– Les DLC à venir

La Note Gamingway : 17/20

Développeur : Rockstar Games
Editeur : Take 2 Interactive
Genre : Action
Support : PS3 et Xbox 360
Date de sortie : 17 septembre 2013

6 réflexions sur “Test : Grand Theft Auto V (PS3)

  • MoiAussiJeSuisUneTeigne:P
    Pavé césar ceux qui n’ont pas lu te saluent ! On peux pas aimer GTA et lire un pavé pareil lol…
  • Lol, il faudrait, lol, écrire, lol, une, lol, critique, lol, de deux, lol, lignes, lol ?
  • Cool, enfin un test qui ne semble pas dire que c’est le meilleur jeu du monde, les GTA sont des jeux sympa, offrant une grande liberté, mais ayant des tares. Perso je n’ai pas encore touché a ce GTA V, j’ai le IV à finir avant, et plein d’autres jeux aussi. Excellent test en tout cas, qui malgré sa grande taille est bien découpé et se lit très bien. Puis quelqu’un aimant Lady du groupe Modjo ne peut faire que de bonne chose ;-)
  • Merci Twinsunnien, ça me fait très plaisir que tu reconnaisses l’objectivité, c’est mon fer de lance. A partir de cette base, chacun peut avoir son avis.
  • Dédicace à l’excellent Quentin Beunardeau ‏:
    On ne peut pas tout faire dans GTA V : jouer un match officiel avec Le Mans FC y est impossible.
  • Je vais le refaire sur Ps4. Le pop up des vehicules qui se transforment vite en simples points lumineux une fois qu on est en altitude m’ a un peu refroidi sur Xbox 360.
    Me reste a faire quelques missions annexes et apprehender les missions de braquage de maniere differente cette fois
    .
    Mais c est vrai que le jeu est perfectible surtout au niveau de la physique des deux roues qui ne procure aucun plaisir (je ne parle pas des quads dont les 4 roues restent collées au sol ,impossible à retourner).

    Je ne comprend pas dans GTA IV la physique des deux roues avaient été revue et était pour moi parfaite dans The Lost And Damned. Pourquoi ne pas l avoir conservée dans GTA V ?

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