On a lu : Joueur de Grenier – Ma Folle Jeunesse la BD

Une fois n’est pas coutume, je vais vous parler de…BD. Mais pas n’importe laquelle puisqu’il s’agit du premier tome qui nous narre l’enfance du célèbre Joueur du Grenier, un fana de jeux vidéo qui nous fait bien rire avec ses vidéos bien inspirées, voire parfois parodiques, accompagnées de ses fidèles acolytes et de son indécrottable chemise hawaïenne.

Et bien d’ailleurs, on retrouve immanquablement cet accessoire vestimentaire qui semble carrément le définir, porté par le personnage de la BD, logique, puisqu’il s’agit des aventures du Joueur du Grenier dans sa folle jeunesse.

Avec lui, on va alors découvrir l’enfance presque classique de la génération qui a grandi dans les années 80/90, bercé par le Club Dorothée, les dessins-animés Japonais, et bien sûr, les première consoles de jeux. On découvre alors comment il passait ses journées à jouer aux jeux vidéo, au grand dam de sa mère désespérée.

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Qui n’a jamais entendu la phrase : « va jouer dehors? »

C’est avec humour, et une pointe d’exagération qui lui ai propre que Frédéric Molas, c’est son vrai nom, nous raconte son quotidien sous forme de petites scénettes marrantes et bourrées de références : Les Tortues Ninja, Dragon Ball Z, Zelda, les Schtroumpfs et j’en passe, rien n’est oublié.

C’est accompagné de Piratesourcil qui réalise toute la partie dessin, ainsi qu’une partie du scénario, que les 2 compères ont donné vie à cette bande-dessinée (presque) autobiographique qui utilise également tous les codes spécifiques de la BD. Ainsi ils jouent avec le suspense, les cases, les changements de pages, les bordures et les effets de styles.
Le résultat est plutôt mignon, se lit facilement et rappelle un peu les Boules et Bill : des histoire courtes, parfois en une page avec un gag de fin.

La BD s’adresse aux grands nostalgiques que nous sommes ainsi qu’aux jeunes enfants.

Joueur du Grenier – Ma Folle Jeunesse sort aujourd’hui,  le 25 octobre 2012 aux éditions HUGOBD. Elle coûte une dizaine d’euros.

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