Test : Tekken Revolution (PlayStation 3)
Un an avant la célébration de son vingtième anniversaire, la licence Tekken prend les devants en proposant un nouvel épisode au format free to play, une première pour la série de Namco Bandai Games mais qui semble devenir une mode chez les jeux de combat. Alors, Tekken Revolution la première en free to play, véritable Tekken ultime ou simple évolution de Tekken 6 ?
Free to play ou pay to win ?
Pour répondre à notre interrogation première, un simple coup d’œil au menu nous donnera déjà une idée. L’absence de mode Histoire, de Versus hors ligne ou encore de Customisation des personnages se fait sentir d’emblée. On craint alors le jeu allégé et il l’est clairement dans son contenu ! Espérons juste que le Gameplay ne suive pas cette voie. Evidemment, on fait le rapprochement : « jeu gratuit, égal, jeu léger », avec parfois un embranchement possible qui est : soit on paie et moult nouveautés se débloquent, soit il est bâclé. Dans le cas de ce Tekken, on comprend assez vite que c’est le premier cas qui a été l’option choisie par le développeur, il suffit d’analyser le processus.
La solution du free to play, pour laquelle Namco Bandaï Games a opté, est une bonne idée à l’heure où les jeux de combats ont repris une part belle du marché et regagné une grande popularité auprès d’un large public. Le sixième volet, sans compter Street Fighter X Tekken et Tekken Tag Tournament 2 qui sont à part, est sorti sur consoles de salons en 2009. Nombreux sont donc les gameurs ayant craqué durant ces années pour des Virtua Fighter, Street Fighter, Soulcalibur ou encore Dead Or Alive et qui n’ont jusqu’alors jamais touché à un Tekken ou alors il y a bien longtemps, et oui nous avons tous joué à Tekken 3 si l’on a un certain âge. Pas évident donc d’oser acheter un nouveau jeu de baston alors qu’on s’éclate déjà sur une ou des autres séries qui nous ont coûté des mois d’entrainements pour maitriser au moins un personnage et une partie de ses coups. Le problème est réglé avec le FTP servant le jeu sur un plateau, il suffit de le télécharger et l’on peut y jouer gratuitement à raison de 2 jetons Arcade et 5 Matchmaking, de classement ou entre « amis », au maximum simultanément. Dès que vous utilisez un de vos jetons, le système de renouvellement s’enclenche, un Arcade mettant une heure à revenir, alors que 30 minutes suffiront pour un Matchmaking.
Mais il vous sera également possible de payer pour jouer, ben ouais faudrait pas croire au Père Noël, seuls les farfadets existent ! Le magasin en ligne proposant des pièces premium pour la modique somme de 0.99€ l’unité. Il existe aussi des packs de 10 pièces pour 1.99€ et 30 pièces pour 4.99€. Tous les vieu… gameurs expérimentés sauteront automatiquement de joie ! Et oui, on les entend toujours se plaindre, l’auteur de cette critique en fait d’ailleurs partie, de la disparition des salles d’arcade et qu’elle était belle leur jeunesse. Et bien voici l’occasion de mettre la main à la poche pour chaque partie, « Arcade rules! » Précisons que l’on peut aussi remporter des tickets premium, chacun valant un jeton à utiliser de la manière de son choix, par divers biais comme un certain nombre de victoires atteint ou encore une connexion au jeu tel ou tel jour. En enchainant les 7 jetons, on joue généralement une vingtaine de minutes, recherches d’adversaires en ligne comprises. Cela s’avère assez honnête et aboutit à la proximité d’une nouvelle partie en Matchmaking offerte, on bénéficie donc de quelques minutes pour voguer sur Gamingway en attendant et ainsi éviter que ces instants ne se perdent en futilité. Pas d’achats de modes supplémentaires donc, ce qui rassure, ni de freemium comme sur les prochains DOA et Killer Instinct, où l’on ne disposera que d’un seul fighter, tandis que les autres pourront être achetés avec de l’argent, du vrai. Tekken Revolution prend là une longueur d’avance sur ses concurrents susnommés.
Le service en ligne fonctionne très bien, le jeu étant gratuit et récemment sorti, on trouve assez facilement des adversaires, même s’il arrive parfois que le serveur ait quelques problèmes, comme ne pas se lancer ou rechercher dans le vide, mais cela reste très rare. Les options de recherche en Matchmaking de Classement sont, même si trop peu nombreuses, bien choisies, à savoir la possibilité de trouver quelqu’un ayant un rang de plus ou moins 2 ou 3 niveaux par rapport au votre, de privilégier ceux avec 3 niveaux de plus ou de moins ou bien encore enlever toutes ces restrictions et se retrouver face à un gameur de n’importe quel Dan. La qualité de connexion de l’opposant peut également être choisie sur quelques niveaux : 3, 4, 5 ou là encore le « peu importe ». On espère que lors des prochaines mises à jour le développeur ajoutera des options supplémentaires, particulièrement sur les choix de niveaux des joueurs que l’on désire affronter. La communauté est carrément réglo, à quelques exceptions près qui ont coupé la partie où elles se faisaient déchiqueter en bonne et due forme par l’auteur de cette critique. Mais contrairement à Tekken 6, si le lâche qui vous faisait front s’en va, la victoire est pour vous, alors que dans son prédécesseur vous n’obteniez tout simplement rien, autant dire que ce type de comportement était légion et rappelait certaines communautés virtuelles adeptes du ballon rond et du FPS. Cela n’empêchera pas un de vos concurrents qui aura subi une cuisante défaite de vous envoyer un charmant message privé vous incitant, en un seul mot, d’aller copuler avec votre matrice, dans ce cas faites comme le bourreau vidéo-ludique de ce piètre esprit en lui répondant « Désolé, je suis déjà occupé avec la tienne. », petit tip que nous vous offrons.
C’est l’histoire d’un mec
Ou pas ! Tekken amincissant son contenu, le côté histoire passe à la trappe. Autant dire qu’on ne va pas crier au scandale car le scénario dans un jeu de fight ce n’est pas foncièrement ce qui nous attire. Même si depuis toutes ces années, les cinématiques à collectionner de la licence avaient remporté une certaine popularité, mais on s’en passera plus facilement qu’un mode Versus hors ligne. Cela serait une bonne occasion pour faire découvrir le jeu à un novice, sans le lancer dans une partie en ligne où il n’aurait même pas le temps de bouger le petit doigt. Le mode Arcade devenant rapidement anecdotique de par sa faiblesse, on a vite fait de ne plus y trouver qu’un seul challenge : le terminer en un minimum de temps, même si cela semble ne rien nous apporter, à part le fait que l’on passe pour un obsessionnel monomaniaque auprès des personnes nous entourant lors d’une telle partie. Et puis, s’affronter en étant dans la même pièce, voire sur le même canapé, restera toujours plus intense qu’un affrontement en ligne face à gossbodu13biguploheme…
C’est l’enfer de la mode, c’est vraiment super sympa
Finalement quelque soit le nom du mode de jeu, présent ou absent, ça reste de la castagne, on peut donc quelque part toujours s’y retrouver. Mais une partie très importante des jeux de baston depuis une dizaine d’années manque à l’appel : la customisation des personnages. Devenue ultra populaire dans les salles d’arcade au Japon avec Virtua Fighter 4 où les joueurs possédaient une carte leur permettant de conserver leur propre combattant, avec ses caractéristiques et son look, puisqu’il était possible de jouer à la Barbie Girl avec les divers fighters. Cet atout majeur pour se différencier des autres s’est retrouvé sur Tekken 6, d’où le grand vide provoqué sur ce nouvel épisode. On se retrouve alors constamment avec le même costume. Evidemment si deux personnages identiques s’affrontent en Versus, la tenue ne sera pas la même pour les deux, mais cela s’arrête ici. Pas de possibilité de se tailler un look à en aveugler votre adversaire comme cela était si simple à réaliser avec Tekken 6.
Les vêtements et accessoires dont on pouvait affubler nos mannequins en herbe sur le sixième volet, offraient également des capacités accrues pour le mode Histoire, comme des dégâts plus importants, une jauge de vie plus grande ou bien encore une chance de remporter des bonus augmentée. Ces atouts disparaissaient pour tous les autres modes et seul l’esthétique restait. Tekken Revolution, à l’instar des Gems dans Street Fighter X Tekken, a finalement osé franchir ce cap des améliorations de personnages, y compris pour l’affrontement en ligne. Pour améliorer au plus vite vos personnages, il suffira de vous faire toucher un minimum lors de vos rencontres et, bien sûr, de les remporter. S’offre alors tout d’abord à vous la monnaie du jeu : le Gold. Cette dernière ne vous fera non pas remporter des images, mais vous servira uniquement pour augmenter les capacités de vos combattants, en y alliant les points d’expérience glanés eux aussi après chaque match. Vous pourrez choisir d’augmenter votre puissance, la taille de votre barre de vie, ainsi que la chance d’infliger un coup critique. La communauté des joueurs, comme pour SF X Tekken, s’insurge déjà contre ce procédé. Ce qui est finalement très étrange puisque l’on a jamais vu qui que ce soit s’offusquer des améliorations de persos créant de colossaux écarts dans des MMORPG, des jeux de sports ou bien encore des FPS, alors pourquoi hurler et pleurer lorsque ce modèle est repris pour de la baston ? Est-ce par esprit de contradiction ou bien la majorité sont-ils des rétrogrades gameurs ? Amélioration ou non, aucune des deux solutions n’est meilleure que l’autre, tout peut fonctionner. Et si vous souhaitez vraiment manifester, allez faire un tour du côté du jeu en ligne de Top Spin 4 avec votre tennisman/woman débutant(e), là vous allez comprendre ce que signifie déséquilibre. Evidemment, ce système d’augmentation des capacités peut inciter à lâcher quelques pièces premium afin d’aller plus vite que ses petits camarades pour atteindre un personnage de niveau 30 000, si tant est que cela existe. Si l’évolution n’existait pas dans ce jeu, acheter des jetons ne servirait qu’à s’affronter, sans but supplémentaire et donc sans carotte. On ne va pas non plus fustiger Namco Bandai Games pour essayer de vivre de son métier, tout en restant honnête vis-à-vis de nous. Des points cadeaux sont donnés après chaque match également, ceux-ci permettent de débloquer de nouveaux combattants, mais sans jamais savoir combien d’unités suffisent pour obtenir le prochain. Une opacité suspecte, puisque l’on peut tout aussi bien faire patienter un certain temps un joueur remportant un nombre de points considérables mais qui n’aurait, une fois acquis, plus en vue ce bonus et pourrait donc se lasser. Alors qu’avec ce système caché il pourra continuer à acheter des jetons pour jouer un maximum et gagner les points cadeaux nécessaires à l’obtention des combattants.
Welcome to the juggle
On connaît le légendaire apriori comme quoi quand on joue à Tekken on peut ne pas connaître le jeu, appuyer sur tous les boutons et gagner le round. Effectivement c’est possible, mais dans ce cas l’adversaire est loin de masteriser le jeu comme il le prétend. La licence étant l’une des plus riches au niveau des coups et prises, les connaître tous, enfin presque ce serait déjà pas trop mal, demande un apprentissage de niveau élevé et rend le joueur clairement imbattable face aux novices. On pense immédiatement à ce propos au Launch, consistant à balancer son opposant en l’air, et au Juggle le suivant, qui lui est tout simplement un enchainement de coups vous faisant littéralement jongler avec votre adversaire comme s’il s’agissait d’un ballon. Ce dernier moins présent ici, on en est finalement pas déçu, devenait lassant et ne glorifiait pas un long entrainement, tout en dégoûtant les débutants en quelques combats. On découvre tout de même l’arrivée de coups critiques, arrivant apparemment au hasard et défenestrant une grande partie de la jauge de votre ennemi. Débarquent également des coups imparables, un par fighter, généralement plutôt explosifs, se mariant bien avec les couleurs chaudes et pétaradantes du jeu.
D’ailleurs les graphismes n’ont pas été revus à la baisse, au contraire même, si vous vous attendiez à ce que les développeurs se laissent aller sur le compte de la gratuité c’est loupé. S’ils avaient cédé à la tentation, là on aurait pu clairement leur tomber dessus, mais comme pour le reste du jeu, le respect envers le joueur prime. On reste également dans une ambiance sonore typique de ce que l’on connait de la série, ce qui ne signifie rien d’incroyable cette fois-ci, mais au même titre que le scénario, la qualité des musiques n’est pas ce que l’on demande dans un jeu de combat.
Alors que le free to play s’impose de plus en plus quelque soit notre machine, on commence à avoir l’habitude de voir de tout et surtout du grand n’importe quoi, à coup de DLC faisant bien mal. Avec Tekken Revolution ce qui fait mal ce sont simplement les coups que vous encaisserez ! Le temps de jeu et le renouvellement de celui-ci étant honnête, pas de modes de jeu, de points d’expérience ou de personnages à débloquer juste en payant, il faudra seulement jouer et le faire sans payer s’avère simple et suffisant. On sait d’ores et déjà que diverses mises à jour sont prévues, notamment pour l’ajout de combattants comme cela fut le cas il y a quelques semaines avec Xiaoyu et Jin. On espère donc que leur Customisation vestimentaire s’inclura gratuitement au jeu prochainement, car il s’agit du seul véritable manque de Tekken Revolution, qui dans son gameplay gagne peut-être même au change grâce à sa non-excessivité de juggles.
Inod
Les points forts :
– Gameplay et fluidité pas revues à la baisse
– Evolution des capacités rendant le jeu addictif
– Service online de qualité
– Communauté réglo
– Du free to play honnête et c’est rare
Les points faibles :
– Pas de customisation des personnages
– Manque de versus hors ligne
– Opacité sur le déblocage des persos
– Possibilité de spammer avec quelques combattants
La Note Gamingway : 14/20
La Note Gamingway : 14/20
Editeur : Namco Bandai Games
Genre : Combat
Support : PlayStation 3 (uniquement PS Store)
Date de sortie : 12 juin 2013
Le 24 juillet dernier, une mise à jour imposante, plus de 600M, venait s’ajouter à Tekken Revolution.
Celle-ci, automatique et gratuite, annonce nous apporter quelques nouveautés, mais nous cacherait-elle également quelques revers non exploités sur le jeu jusqu’à présent ?
Warm-up
Ce que l’on remarque dès le menu du jeu, c’est l’apparition d’un nouveau mode : l’échauffement. Un ajout qui ne peut qu’être bien accueilli, puisque d’une part il permettra à tout le monde de s’exercer à l’apprentissage des techniques, mais d’autre part il est gratuit et illimité. Nul besoin donc de dépenser ses pièces de jeu pour s’entrainer. Les joueurs aguerris ne devraient cependant pas y passer beaucoup de temps, voire même ne pas l’effleurer du tout. Mais pour les débutants à Tekken, nul doute qu’il s’agit là d’un eden pour eux.
Le mode arcade, qui devenait vite anecdotique de par sa faiblesse, se voit désormais entiché de trois modes de difficulté : normal, difficile et très difficile. Le « très difficile » n’effraiera aucun joueur connaissant un tant soit peu Tekken. Les doubles perfect s’enchainent là aussi assez aisément, pour peu que l’on reste concentré. Etre trop relâché pouvant coûter un instant d’inadvertance, dont l’intelligence artificielle saura désormais profiter. L’intérêt principal de ce choix dans la difficulté, réside dans l’obtention des gains. Plus le niveau sera élevé, plus vous pourrez remporter de gold, d’expérience et de points cadeau.
DLC
Aucun changement sur l’utilisation des trois bonus, le gold et l’expérience servant toujours à améliorer vos personnages. En revanche, cette mise à jour vous offre la possibilité de remettre à zéro l’un de vos combattants gratuitement. Précisons le gratuitement, car vous pouvez désormais acheter des sodas zéro, probablement sans sucre, permettant là aussi de réinitialiser les statistiques améliorées de l’un de vos persos. L’addition sera elle en revanche salée, puisqu’il vous en coûtera 2.99 € l’unité et 4.99€ le lot de cinq. Plus cher donc qu’un pack de canettes que vous pourrez boire vous-mêmes.
D’autres DLC sont de la partie, à commencer par le gros morceau : les costumes ! Toujours pas de mode customisation donc, mais des packs de costumes pour chaque fighter. Un pack renfermant un costume sous trois coloris différents. Clairement il ne s’agit pas de la période des soldes, le pack à l’unité coûtant 4.99€. Refaire la garde-robe de vos personnages risque de revenir plus cher qu’une journée shopping entre filles, il s’agit d’un jeu de baston le machisme est donc de rigueur. A ce propos, on notera la forte présence de bikinis, Tekken marcherait-il sur les plates-bandes de DOA ?
Le dernier DLC faisant son entrée concerne également l’esthétisme, puisqu’il sera désormais possible d’acheter des effets premium, apportant chacun un nouvel effet visuel aux frappes critiques. Pas d’incidence en revanche sur le gameplay ou sur la puissance déployée par ces nouvelles figures de style et l’on en est que plus ravi. Selon le personnage, ces effets vous reviendront entre 3.99 et 5.99€.
Deux personnages supplémentaires sont déblocables grâce aux points cadeaux : Hwoarang et Dragunov. Ce système reste toujours aussi mystérieux, mais en étant attentif et en comparant avec ses petits camarades, on découvre que le premier se débloque au bout de 130 000 points cadeau et le second à 150 000. On espère vraiment qu’un nombre de points à atteindre, visible publiquement, sera mis en place au plus vite. Enfin tant que l’on ne paie pas pour les personnages, on va éviter de trop se plaindre.
Mokujin tonic
Un autre personnage, non jouable celui-ci, viendra vous rendre visite. Arrivé par cette MAJ, tout d’abord en tant que possible adversaire du septième tour en mode arcade, Mokujin, puisque c’est de lui qu’il s’agit, prend une place de plus en plus importante au fil des jours. Préalablement placé en tant que pré-boss, des évènements spéciaux en fin de semaine dernière l’ont vu débarquer sur différents tours du monde arcade et ce sous ses trois formes : Mokujin, Testujin et Kinjin. Sur les huit matchs d’une partie arcade, nous avons eu l’occasion de l’affronter à cinq reprises et ce ne fut pas en vain, car le battre signifie une augmentation des récompenses.
Un mode spécial a également été lancé durant cet évènement : Armada Mokujin. Le principe est simple, tel un mode arcade, huit tours, chacun en deux rounds gagnant, mais où l’adversaire sera forcément l’une des trois versions de Mokujin. A chaque victoire, là encore le gain sera plus élevé qu’en temps normal. L’évènement durant trois jours, vous bénéficiiez d’une partie par jour et des tickets de jeu étaient parfois offerts lors d’affrontements en ligne. Nul doute que cet évènement et en particulier Armada Mokujin reviendront de temps à autres, au même titre que les évènements spéciaux augmentant simplement les récompenses.
Si au premier abord cette mise à jour pouvait nous sembler très intéressante, on reste finalement sur notre faim. Les personnages supplémentaires étant presque anecdotiques, puisque deux nouveaux combattants sont déjà arrivés entre la sortie de la MAJ et la publication de cette critique. Le mode entraînement s’adresse essentiellement aux novices, les niveaux en arcade ne sont pas si significatifs et Armada Mokujin reste un évènement exceptionnel en marge de ce nouveau contenu. Bien sûr, les DLC payants débarquent moins d’un mois et demi après la sortie du jeu, on peut s’imaginer que le plan marketing était déjà bien convenu à l’avance. Tekken Revolution reste tout de même un bon jeu, gratuit, mais attention à la tentation car il peut vite devenir un coûteux passe-temps.
Inod
Les points forts :
– Le mode échauffement
– Les niveaux de difficulté en arcade
– Possibilité de gagner plus de bonus
– Armada Mokujin
Les points faibles :
– Costumes en DLC
– Effets premium en DLC
– Sodas zéro en DLC
– On a évoqué les DLC ?
La Note Gamingway avec DLC 14/20
La Note Gamingway avec DLC 14/20
Editeur : Namco Bandai Games
Genre : Combat
Support : PlayStation 3 (uniquement PS Store)
Date de sortie : 24 juillet 2013