Gamingday : Démarrez au Greenlight #2

Deuxième volet des mes conseils à propos de Steam Greenlight, où vos votes peuvent changer la vie d’un jeu et ouais, on ne plaisante pas avec les élections ! Bien que celles-ci soient plus détendues, puisque vous avez le droit de faire ça à plusieurs projets qui y croient vraiment.

Gelluloid

Une fois n’est pas coutume, nous allons démarrer par un logiciel Roumain : Gelluloid de Tractor, Set, GO! studio fondé en 2011.

A l’instar de bien d’autres, celui-ci n’a pas attendu d’être potentiellement admis sur la plateforme pour sortir sur divers supports. Néanmoins, on dénote qu’il n’est pas encore disponible sur PC, Mac et Linux. Il est en revanche téléchargeable depuis le printemps 2013 sur iOS, Android et Windows Phone 8, à un prix défiant toute concurrence puisqu’il ne coûte rien, nada, ceva…

Dans ce jeu de stratégie vous contrôlerez un nouveau type de gel intelligent, apprenant les capacités de ses ennemis au fil de de leurs affrontements.

Parmi les features les plus marquantes, on songe à l’arrivée régulière de cartes supplémentaires, aux nombreuses améliorations ou encore au tutoriel in-game.

Vous trouverez peut-être cette dernière légère et bien pas moi, car juste avant de rédiger cet article je me lançais dans un didacticiel durant lequel je n’ai fait que penser « Mais pourquoi n’est-il pas directement implémenté dans le jeu ? ».

Pour voter Gelluloid il suffit d’aller là.

Sa bande-annonce :

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Aurora Dusk

Aurora Dusk de Sylvain Harlaut, et oui, comme le nom de son développeur l’indique, ce jeu fait partie de ceux dont une seule personne s’occupe.

Au-delà ce cet aspect que l’on retrouve régulièrement chez les indépendants ici nous sommes en présence du remake d’un jeu qu’il avait développé durant ses études de 2003 à 2007.

Déjà à l’époque entièrement gratuit, car l’indé fait dans le libre accès depuis fort longtemps, et offrant une liberté totale avant que le terme de logiciels bac à sable n’envahisse le milieu, cela calme rapidement ceux pensant avoir tout inventé.
On y configurait son monde, créait un ou plusieurs personnages et jouait sans aucune ligne directrice.

Son créateur a confié que sa principale source d’inspiration était le mode escarmouche d’Age of Empire. Sauf qu’au lieu de contrôler un peuple, on n’incarne qu’un seul citoyen évoluant dans un mode dynamique.

On y retrouve les casernes, les fermes, la forge, les tourelles de défense et l’évolution à travers 5 époques.
L’aspect gestion comprend lui de nombreuses ressources et ateliers, à l’instar d’un Settlers 2.
Niveau jeu de rôle, ses multitudes de compétences possédant chacune sa propre jauge d’expérience, le rapproche d’un Elder Scrolls.

Rendez-vous ici afin de voter pour Aurora Dusk.

Sa vidéo de présentation :

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Motorbike

Enfin, voici un jeu dont je vous ai parlé il y a quelques temps sur Gamingway, Motorbike de baKno Games.

Je l’ai en effet critiqué sur PS3, mais je ne m’étais pas arrêté là. S’en était suivie mon interview d’Andres Martinez, le patron du studio.

Grâce à mes précédents articles, vous savez déjà de quoi il en retourne. Un très bon jeu déjà en place de motocross, avec une physique des véhicules impressionnante, mais aussi celle des pilotes qui ajoute une touche humoristique à l’ensemble.

En revanche, pas le temps de rigoler quand la moto se pose sur la piste à Amsterdam ou à Tokyo ! Une seconde d’inattention et vous verrez votre personnage glisser entre deux énormes rouleaux, se faire percuter par un monte-charges ou encore tomber dans le vide infini, fini, ni…

On peut donc aussi y trouver son compte si l’on est passionné par la douleur et les crash tests.

Pour permettre à Motorbike d’être greenlighté, ça se passe là.

Le trailer :

Inod