PGW 2014 : Espace Jeux Made in France, Hesaw

blue-estate-hesaw-made-in-france-stand-paris-games-week-pgw-2014-05Comme vous avez pu le constater, l’espace Jeux Made in France permettait d’essayer pour la toute première fois des logiciels actuellement en cours de développement, mais également certains déjà disponibles. Justement, cette fois-ci nous allons nous pencher sur le studio Hesaw, créateur de Blue Estate, sorti courant juin sur PS4 et prévu sur Xbox One.

Ce soft est loin de m’être inconnu, l’ayant découvert via sa démo sur PlayStation4 cet été. A savoir que je ne télécharge plus de démos depuis un bon bout de temps, hormis parfois un essai sur un jeu de sport.
Mais celui-ci, dont je n’avais pourtant jamais entendu parler auparavant, je m’y suis essayé après avoir flashé sur les screenshots aperçus sur le PSN, sans même avoir lu quel était le genre du jeu.

Ce n’est donc qu’en direct que j’ai découvert qu’il s’agissait d’un rail shooter ultra spectaculaire et aux personnages haut en couleur, à la sauce John Woo, Quentin Tarantino ou encore Guy Ritchie, mais avant tout à la Viktor Kalvachev. Ce dernier n’étant autre que l’auteur du comic The Dark Comedy Shooter, dont Blue Estate est l’adaptation vidéo-ludique. Il était d’ailleurs possible de le rencontrer durant le salon.

En sus de son univers original et décapant, sa maniabilité fait son identité car elle s’avère peu courante. En l’occurrence, on se sert de la détection de mouvements de la Dualshock 4 pour viser, le tir étant lui automatique dès que la cible est dans notre ligne de mire.
Ce à quoi il faut ajouter des touches de gameplay avec le pavé tactile.

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Cette version était disponible sur le stand, mais Hesaw proposait également de jouer à celle Xbox One, sur laquelle le studio travaille toujours.
La détection de mouvements reste évidemment d’actualité mais désormais sans manette, cette dernière étant remplacée par Kinect.

Une autre information assez énorme est à préciser : je n’avais jamais touché, enfin façon de parler, Kinect !
Pour cette première fois on pouvait craindre le pire, mais finalement on arrive à comprendre assez vite que jouer très détendu, avec beaucoup de souplesse, suffit amplement et non pas car tout est facilité, non tout simplement car cela est très bien réalisé. Pour précision, je me servais de mon index et mon majeur simultanément pour viser. J’aurais du tenir mon pouce à la verticale afin de donner l’impression d’un flingue.

Mais dézinguer l’armada d’en face ne sera pas si évident, car il faudra également gérer son rechargement de munitions en baissant son bras. Plus longtemps celui-ci sera maintenu, plus de cartouches seront ajoutées, mais attention aux ennemis qui eux n’arrêteront pas l’offensive.
Tout en surveillant la possibilité d’employer le slow motion, à déclencher par un mouvement de l’autre bras.

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Autre point notable, même si je n’ai pas eu l’occasion de l’essayer, Blue Estate permet d’évoluer à deux en local, quelque chose d’indispensable à mes yeux et pourtant de plus en plus rare. On se doute qu’en duo sur Kinect cela devrait au minimum doubler l’amusement.

Bonne nouvelle, durant les soldes d’Halloween le jeu est à moitié prix  sur le magasin en ligne de la PS4, soit jusqu’au 5 novembre. Et si vous êtes membre du PS Plus, vous gagnerez encore 10% sur le prix déjà réduit.

Si vous désirez suivre Blue Estate, rendez-vous sur son Twitter et son Facebook.

Inod

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